En fait de beauté, il serait plus juste d'écrire que l'A3 s'aligne sur le style déjà adopté par la version 5 portes Sportback. Signe le plus visible de cette évolution stylistique, l'A3 hérite de la désormais fameuse calandre single-frame chère au groupe Volkswagen. Et en option, pour ceux qui voudraient se la jouer, il est possible de donner un look de "S" à son A3 préférée.
La mécanique n'est pas oubliée puisque la suspension évolue pour procurer un confort accru tandis que la sécurité se voit renforcer par l'adjonction d'un ESP de dernière génération, couplé à la direction assistée. Le fonctionnement est le suivant: en cas de perte d'adhérence, si le conducteur corrige au volant comme il se doit, l'assistance est augmentée, alors que dans le cas d'une manœuvre inappropriée, l'assistance diminue. Un frein de parking électronique avec assistance au démarrage en rampe complète la panoplie des équipements destinés à faciliter la conduite de l'A3.
Sous le capot, on retrouve des groupes déjà connus, comme le quatre cylindres essence à injection directe turbo, les diesels TDI à injecteurs pompes ou le V6 3,2 litres de 250 ch. La transmission à quatre roues motrices permanente est toujours proposée en option, de même que la boîte robotisée à double embrayage DSG ou la classique boîte auto à 6 rapports.
L'A8, elle, a droit à un nouveau moteur. Il s'agit du V6 de 3,2 litres à injection directe dont la puissance a été portée à 260 ch. Suffisant pour le modèle qui constitue l'entrée de gamme A8. Accouplé à une boîte auto à six rapports de type Tiptronic, il permet à la grande Audi d'abattre le 0 à 100 km/h en 7,7 s et de pointer à 250 km/h. Comme pour l'A3, le choix est permis entre 2 et 4 roues motrices, mais l'A8 est la seule à exister en version limousine... La commercialisation est prévue en juillet.
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